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Népal – L’aide commence à donner ses fruits

11 décembre 2017

(ANS – Kathmandu) – Les Salésiens sont présents au Népal depuis 1992. D’abord avec une œuvre à Dharan, dans l’Est du pays, puis à Sirsia (1996), puis à Kathmandu, Baroul et Chakkarghatty (2014) et enfin à Biratnagar (2017). Le moment le plus difficile a été, certainement, après le double tremblement de terre de 2015, qui a dévasté la capitale, causant la mort de plus de 8.000 personnes, avec maisons, écoles, hôpitaux détruits.

Les aides salésiennes au Népal ont atteint plus de 1.500 enfants et jeunes qui pourront bientôt retourner à l’école. Enfants qui auront l’opportunité d’inaugurer les nouvelles classes, les nouveaux bancs… Et tout cela juste quand on fête les 25 ans de présence de service éducatif des Salésiens.

Les Salésiens aident le Népal depuis 25 ans et ils l’ont fait aussi tout de suite après les tremblements de terre, apportant nourriture et produits de première nécessité : en beaucoup de cas ils ont été les premiers pour aider la population.

Actuellement ils travaillent à la reconstruction du pays. A ce jour, 10 écoles ont été construites et équipées dans les petits villages de la vallée de Kathmandu. Quelques ONG salésiennes aident maintenant dans la fourniture de matériel scolaire, dans la reconstruction là où il y a l’eau potable, et surtout dans la formation des enseignants pour offrir aux jeunes une éducation de qualité.

Les communautés salésiennes au Népal continuent à recevoir de l’aide de la part de certains organismes, soit pour la reconstruction, soit pour les activités des missionnaires. Ils ont donné la priorité au travail dans les écoles : 4 écoles, 2 écoles techniques, 4 internats, et programmes de bourses d’étude. Le P. salésien Augusty affirme : « Cette aide qui arrive servira à montrer à tout le monde que notre présence est importante pour le pays et pour les personnes, mais surtout pour les enfants et les jeunes les plus besogneux.

Paco Nadal, journaliste du quotidien espagnol « El Pais » a écrit : « Le Népal est un pays qui, après le double tremblement de terre de 2015 est en train de subir une autre catastrophe : l’oubli ». Si cela est vrai pour beaucoup, les Salésiens n’ont oublié personne, au contraire, ils continuent à soutenir celui qui est difficulté, à construire pour éduquer les générations qui aideront faire refleurir le pays.

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